Être visible en Europe et à l’international est l’enjeu de toute PME qui souhaite exporter son concept, être connue de tous et trouvée par des visiteurs qualifiés ou non dans leur langue maternelle ou non. Petit tour d’horizon des meilleures pratiques SEO pour bénéficier d’une visibilité inédite sur les principaux moteurs de recherche mondiaux mais également nationaux.
Pour choisir un nom de domaine, trois options :
·       Par langue ou pays, aussi appelé ccTLD type www.domain.fr
·  Par nom de domaine commun avec sous-répertoire par langue type www.domain.com/fr/
·       Par nom de domain commun avec sous-domaine par langue type fr.domain.com
D’un point de vue technique il est nécessaire d’indiquer aux moteurs de recherches quelle est la langue en vigueur sur chaque page du site. Deux éléments quasi-indispensables ici sont l’attribut lang de la balise HTML et l’attribut hreflang placé sur une balise link.
L’attribut lang placé sur la balise <html> permet de ‘fixer’ la langue par défaut du contenu complet de la page et n’est pas uniquement à destination des moteurs de recherches, il est par exemple reconnu des navigateurs. L’attribut est rempli en utilisant la codification du IANA Language Subtag Registry.
Il se présente ainsi : <html lang=”en”>
L’attribut hreflang de la balise <link> est quant à lui uniquement destiné aux moteurs de recherches. Il permet d’indiquer aux moteurs les différentes variantes linguistiques d’une même page, au format ISO 639-1. Chaque variante doit être indiquée, y compris la page en cours. Ce dernier point est important et présente un effet de bord plutôt positif : les hreflang seront identiques sur chaque variante linguistique, ce qui facilite le déploiement de cet élément.
Voici un exemple de mise en place pour un site existant en anglais, français et espagnol :
<link rel=”alternate” hreflang=”en” href=”https://www.domain.com/en/page.html” />
<link rel=”alternate” hreflang=”fr” href=”https://www.domain.com/fr/page.html” />
<link rel=”alternate” hreflang=”es” href=”https://www.domain.com/es/pagina.html” />
<link rel=”alternate” hreflang=”x-default” href=”https://www.domain.com/en/page.html” />
On note l’apparition d’un hreflang=”x-default” ; celui-ci indique une version par défaut afin que Google sache quelle page positionner sur une autre version linguistique de son moteur, Google.it par exemple. Celui-ci est optionnel.
En plus des langues il est possible de cibler des régions, au format ISO 3166-1 Alpha 2, pour différencier par exemple un contenu destiné aux US et un contenu destiné au UK :
<link rel=”alternate” hreflang=”en-us” href=”https://www.domain.com/en/page.html” />
<link rel=”alternate” hreflang=”en-gb” href=”https://www.domain.com/en/page.html” />
Si la langue est obligatoire le ciblage géographique est optionnel. Lorsque ce dernier est présent il est important de mettre la langue en première position et le ciblage géographique en seconde.
A noter : la mise en place du hreflang ne permettra pas de mieux se positionner sur Google, en revanche il permettra de présenter la bonne version du site sur la bonne version localisée de Google.
Si peu de sites décrivent les caractéristiques d’un produit en plusieurs langues sur une même page, beaucoup affichent des avis de consommateurs en différentes langues sur une même page.
Les avis multilingues sur une même page sont à éviter, plusieurs méthodes existent :
·       Automatiser leur traduction en laissant la possibilité à l’internaute d’afficher la version originale
·       Choisir de n’afficher que les avis rédigés dans la langue en cours et laisser la possibilité d’afficher les avis rédigés dans d’autres langues
Si la frontière reste tenue, les ambitions et les enjeux sont très différents.
·   Pour un site en plusieurs langues ne ciblant pas nécessairement telle ou telle zone géographique la traduction est souvent suffisante
·   Tandis que pour un site ciblant une zone géographique particulière, la localisation va au-delà de la simple traduction et nécessite une adaptation culturelle. Seule une analyse sémantique permettra de confirmer le besoin éventuel d’une localisation.
Dans les deux cas, les logiciels de traduction actuels ne sont pas suffisamment efficaces.
Définir le langage en fonction de la langue du navigateur ou de l’IP sont d’excellentes solutions du point de vue de l’expérience utilisateur mais ne sont pas recommandées d’un point de vue SEO : la majorité des crawlers, basés aux Etats-Unis ne sont pas encore prêts à interpréter ce type de contenus dynamiques.
La meilleure solution consiste à laisser à l’internaute le choix de la langue via une page tunnel ou même un pop-up, l’essentiel étant de s’assurer que d’un point de vue technique les crawlers aient accès aux différentes langues disponibles. 

#1 – Choisir l’extension du nom de domaine Pour choisir un nom de domaine, trois options : ·       Par langue ou pays, aussi appelé ccTLD type www.domain.fr ·  Par nom de domaine commun avec sous-répertoire par langue type…
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